Brajs, kâaks, makrouds…
Posté par imsat le 15 septembre 2009
Ce qui m’intéressait, c’était le processus lié à ces gâteaux, l’ambiance qui régnait autour de leur préparation.
Il y avait aussi, pour certains d’entre nous, le privilège, le bonheur de goûter aux premiers gâteaux cuits, chauds, encore fumants.
Ensuite, venait la dégustation en groupe autour du café de l’après-midi.
Enfin, plaisir suprême, plaisir d’une autre dimension, selon la saison : quand, quatre ou cinq jours après, il ne restait plus que quelques brajs, quelques makrouds ou des kâaks que MA croyait toujours avoir mis à l’abri de notre tentation, dans un coin « secret » du buffet. Il s’agissait des derniers gâteaux, ceux dont on aurait dit qu’ils avaient mûri avec le temps, atteignant une qualité supérieure qui les distinguait nettement des premiers et dont je me régalais pleinement.
Lamine Bey Chikhi
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