I comme Italia -89-
Posté par imsat le 18 juin 2025
« L’écriture n’est pas une fin en soi, elle est la nostalgie d’un ravissement » (Yasmina Reza)
Le 18 juin 2025
Merci, Cher Lamine,
Votre lettre est très belle…
Sous le soupir du soir, je vous écris…
“Il y a les mots.
Ceux qui promettent un doux réveil.
Ceux qui font briller le soleil.
Il y a les mots.
Ceux que l’on entend certains soirs.
Ceux qui colorent un jour.
Oui, il y a ces mots qui sont des vers et des chansons.
Qui sont teintés de doux frissons.
Qui sont nos cœurs à l’unisson.”
(Victor Hugo)
Il y a vos mots…
Et moi, je me demande : étais-je vraiment là, dans ces ruelles où l’on entend le clapotis des vagues, où l’on regarde les passants, espérant, sans oser l’avouer, qu’un inconnu, vous, viendrait me troubler ?
Étais-je cette silhouette que vous cherchiez, dans un café aux stores baissés, des lunettes de soleil blanches et un livre de Modiano sur la table ?
Alors, venez, prenons une voiture, roulons jusqu’à la mer, laissons le vent emmêler nos cheveux et nos désirs…
Je vous embrasse, je vous embrasse longuement…
Ivana
P.S. J’ai acheté une tarte aux fruits et, ajouté au son de votre voix et à vos longs baisers, cela me rend toute heureuse
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